mardi 8 juin 2010

POURQUOI JE DEFENDS ISRAEL



Sujet : combattre le mensonge

Pourquoi je défends Israël

Par BERNARD-HENRI LEVY Philosophe

Portrait pris le 29 avril 2003 à Paris, de l'écrivain Bernard-Henri Lévy, lors de sa

Portrait pris le 29 avril 2003 à Paris, de l'écrivain Bernard-Henri Lévy, lors de sa participation à l'enregistrement de l'émission littéraire "Vol de nuit". (AFP)

Je n’ai évidemment pas changé de position. Je continue de juger «stupide», comme je l’ai dit le jour même, à Tel Aviv, dans un débat musclé avec une ministre de Netanyahu, la façon dont a été mené, au large de Gaza, l’assaut contre le Mavi Marmara et sa flottille.

Et me serait-il resté le moindre doute que l’arraisonnement du 7e navire, ce samedi matin, sans violence aucune, aurait achevé de me convaincre qu’il y avait d’autres façons d’opérer pour éviter que ne se referme ainsi, dans le sang, le piège tactique et médiatique tendu à Israël par les provocateurs de Free Gaza.

Cela dit et redit, on ne peut pas accepter non plus, et pour autant, le flot d’hypocrisie, de mauvaise foi et, à la fin des fins, de désinformation qui semblait n’attendre que ce prétexte pour, comme chaque fois que l’Etat juif commet une erreur et trébuche, s’engouffrer dans la brèche et déferler dans les médias du monde entier.

Désinformation, la formule, ressassée jusqu’à la nausée, du blocus imposé «par Israël» alors que la plus élémentaire honnêteté voudrait déjà que l’on précise : par Israël et par l’Egypte ; conjointement, des deux côtés, par les deux pays identiquement frontaliers de Gaza ; et ce, avec la bénédiction à peine déguisée de tous les régimes arabes modérés - trop heureux de voir autrui endiguer, pour le compte et la satisfaction de tous, l’influence de ce bras armé, de cette base avancée, un jour, peut-être, de ce porte-avions de l’Iran dans la région.

Désinformation, l’idée même d’un blocus «total et impitoyable» (Laurent Joffrin, éditorial de Libération du 5 juin) prenant «en otage» (Dominique de Villepin, le Monde du même jour) «l’humanité en danger» de Gaza : le blocus, il ne faut pas se lasser de le rappeler, ne concerne que les armes et les matériaux pour en fabriquer ; il n’empêche pas que passent, tous les jours, depuis Israël, entre 100 et 120 camions chargés de vivres, de médicaments, de matériel humanitaire en tout genre ; l’humanité n’est pas «en danger» à Gaza ; c’est mentir que de dire que l’on «meurt de faim» dans les rues de Gaza-City ; que le blocus militaire soit, ou non, la bonne option pour affaiblir et, un jour, abattre le gouvernement fascislamiste d’Ismaïl Haniyeh, on peut en discuter - mais indiscutable est le fait que les Israéliens qui officient, jour et nuit, aux points de contrôle entre les deux territoires sont les premiers à faire l’élémentaire mais essentielle distinction entre le régime (qu’il faut tenter d’isoler) et la population (qu’ils se gardent de confondre avec ce régime ni, encore moins, de pénaliser puisque l’aide n’a, encore une fois, jamais cessé de passer).

Désinformation : le silence, en France comme ailleurs, sur l’incroyable attitude du Hamas qui, maintenant que la cargaison de la flottille a rempli son office symbolique, maintenant qu’elle a permis de prendre l’Etat juif en défaut et de relancer comme jamais la mécanique de sa diabolisation (dans Libération encore, ce titre terrible et qui, si les mots veulent encore dire quelque chose, ne peut qu’aller dans le sens de la délégitimation de l’Etat hébreu : «Israël, Etat pirate»), maintenant, en d’autres termes, que ce sont les Israéliens qui, inspection faite, entendent acheminer l’aide vers ses destinataires supposés - le silence qui se fait donc, alors, sur l’attitude d’un Hamas bloquant la dite aide au check point de Kerem Shalom et l’y laissant doucement pourrir : au diable les marchandises passées entre les mains des douaniers juifs ! à la poubelle les «jouets» qui ont fait pleurer les bonnes âmes européennes mais qui ont été rendus impurs par les trop longues heures passées dans le port israélien de Ashdod ! les enfants gazaouis n’ayant jamais rien été d’autre, pour le gang d’islamistes qui a pris le pouvoir par la force il y a trois ans, que des boucliers humains, de la chair à canon ou des vignettes médiatiques, leurs jeux ou leurs désirs sont la dernière chose dont on ait, là-bas, le souci - mais qui le dit ? qui s’en indigne ? qui se risque à expliquer que s’il y a, à Gaza, un preneur d’otage, un profiteur sans scrupule et froid de la souffrance des gens et, en particulier, des enfants, bref, un pirate, ce n’est pas Israël mais le Hamas ? Désinformation encore - risible mais, compte tenu du contexte stratégique, catastrophique désinformation : le discours, à Konya, dans le centre de la Turquie, d’un Premier ministre qui fait jeter en prison quiconque ose publiquement évoquer le génocide des Arméniens mais qui a le culot, là, face à des milliers de manifestants chauffés à blanc et vociférant des slogans antisémites, de dénoncer le «terrorisme d’Etat» israélien.

Désinformation, encore : le lamento des idiots utiles tombés, avant Israël, dans le piège de ces étranges «humanitaires» qui sont, au IHH turc par exemple, des adeptes du jihad, des fanatiques de l’apocalypse anti-israélienne et antijuive, des hommes et des femmes dont certains, quelques jours avant l’assaut, disaient vouloir «mourir en martyrs» (Guardian du 3 juin, Al Aqsa TV du 30 mai) : comment un écrivain de la trempe du Suédois Henning Mankell a-t-il pu se laisser ainsi abuser ? Comment, quand il nous dit songer à interdire la traduction de ses livres en hébreu, peut-il, lui, pour le coup, oublier la sacro-sainte distinction entre un gouvernement fautif ou stupide et la foule de ceux qui ne se reconnaissent aucunement en lui et qu’il associe pourtant dans le même projet de boycott insensé ? Comment le réseau de salles Utopia peut-il, en France, exactement de la même façon, décider de déprogrammer la sortie d’un film (A cinq heures de Paris) au seul motif que son auteur (Leonid Prudovsky) est citoyen israélien ? Désinformateurs, enfin, les bataillons de tartuffes regrettant qu’Israël se dérobe aux exigences d’une enquête internationale quand la vérité est, à nouveau, tellement plus simple et plus logique : ce qu’Israël refuse c’est l’enquête demandée par un conseil des droits de l’homme des Nations unies où règnent ces grands démocrates que sont les Cubains, les Pakistanais et autres Iraniens ; ce dont Israël ne veut pas c’est d’une démarche du type de celle qui aboutit au fameux rapport Goldstone commandé, après la guerre de Gaza, par la même sympathique commission et où l’on vit cinq juges, dont quatre n’avaient jamais fait mystère de leur antisionisme militant, boucler en quelques jours 575 pages d’interviews de combattants et de civils palestiniens menées (hérésie absolue, sans précédent, dans ce type de travail !) sous l’œil des commissaires politiques du Hamas ; ce à quoi Israël a prévenu (et comment le lui reprocher ?) qu’il n’apporterait pas sa caution à la mascarade de justice internationale que serait une enquête bâclée, aux conclusions connues d’avance et ne visant qu’à traîner, comme d’habitude, de façon parfaitement unilatérale, la seule et unique démocratie de la région au banc des accusés.

Un dernier mot. Pour un homme comme moi, pour quelqu’un qui s’honore d’avoir, avec d’autres, aidé à inventer le principe de ce type d’actions symboliques (Bateau pour le Vietnam ; Marche pour la survie au Cambodge de 1979 ; boycotts antitotalitaires ; ou encore, plus récemment, violation délibérée de la frontière soudanaise pour briser le blocus à l’abri duquel se perpétraient les massacres de masse du Darfour), pour un militant, en d’autres termes, de l’ingérence humanitaire et du tapage qui va avec, il y a dans cette épopée misérable comme une caricature, ou une grimace lugubre, du destin. Mais raison de plus pour ne pas céder. Raison de plus pour refuser cette confusion des genres, cette inversion des signes et des valeurs. Raison de plus pour résister à ce détournement de sens qui met au service des barbares l’esprit même d’une politique qui fut conçue pour les contrer. Misère de la dialectique antitotalitaire et de ses retournements mimétiques. Confusion d’une époque où l’on combat les démocraties comme s’il s’agissait de dictatures ou d’Etats fascistes. C’est d’Israël qu’il est question dans ce tourbillon de haine et de folie - mais c’est aussi, que l’on y prenne garde, quelques-uns des acquis les plus précieux, à gauche notamment, du mouvement des idées depuis trente ans qui se voient mis en péril. A bon entendeur, salut.

Bernard-Henri Lévy est actionnaire de «Libération»

jeudi 20 mai 2010

LA MORT D'UN GÉANT DE L'ÉDITION

Robert Laffont est mort. J'ai perdu un grand ami. Cet homme qui réunissait toutes les qualités humaines dont la beauté, car il est resté beau jusqu'à sa mort, mais aussi la tolérance, la bonté, l'intelligence et la grande fidélité en amitié. Quand à son métier, qu'il faisait, disait-il en s'amusant, il a été le plus grand...Papillon, Exodus, Paris-brûle-t-il...tous à un million d'exemplaires, et tant d'autres...
Quand on avait le privilège d'être reçu dans son bureau, c'est avec un grand sourire qu'il vous acceuillait. Derrière lui était suspendu au mur un tableau noir où était écrit à la craie, en caractères minuscules, tous les titres en préparation. Si vous aviez la chance d'être édite chez lui, vous étiez traité comme un prince, en revanche il trouvait toujours les mots pour vous consoler si votre manuscrit était refusè. Il annonçait son refus en vous laissant l'espoir qu'il serait accepté un jour après une correction du texte.
Il avait organisé, il y a 20 ans déjà, un voyage en Egypte avec tous ses amis.
il avait loué les deux bateaux à roues de la flotte de Farouk, sur lesquels avait été tounè Mort sur le Nil de John Guillermin. Il voulait descendre le fleuve jusq'à Denderra, le temple aux crocodiles. Durant ce périple, nous avons failli couler lors d'une mauvaise manoeuvre dans un écluse. Nous étions tous paniqués, tandis qu'il était tranquillement assis et compulsait un veil exemplaire de l'Illustration, un verre de whisky à la main. L'idée de la mort ne le concernait pas.
Durant la traversée, où nous étions tous, sauf lui, atteints de la tourista, il me suggéra de refaire un remake de Mort du le Nil avec tous ses amis comme acteurs
Il y avait à bord une vieille caméra à cassettes. Je relevais le défi. Et nous avons fait le film. Je crois que nous n'avons jamais autant ri de notre vie. Tous les acteurs étaient mauvais comme des cochons, mai ils prirent leur rôle très au sérieux. Sauf mon regrettè ami Jean Forgeaud qui fit un Hercule Poirot étonnant, en faite, il improvisa sans jouer. Robert interpreta son propre rôle d'éditeur. Heureusement je possède un CD de cette aventure...
Le grand secret de Robert c'etait son amour de la vie, et la vie le lui a bien rendue...Il eut une vie d'homme magnifique!...
Cher Robert, si le paradis existe, je suis sur que tu es assis à l'ombre, un livre à la main, en sirotant une verre de rouge... A un de ces jours... peut-être!

dimanche 2 mai 2010

PROCHAIN ROMAN : LA REVOLUTION FRACASSEE PROGRAMMEE DEBUT 2011 CHEZ ACTES SUD

J'ai remis à Jean-Paul Capitani, Directeur d' Actes Sud, mon manuscrit définitif. Il sortira début 2011. Ce roman a été extrêmement difficile à faire. Le héros, le baron de Batz, durant les années 92, 93 et 94 a mené de front plusieurs actions. Il monta d'abord un commande de 500 hommes pour s'emparer de Louis XVI sur le chemin de l'echafaud. Il penetra ensuite dans la prison du Temple pour liberer Marie-Antoinette et ses enfants. Il tenta enfin de persuader trois deputés de la Convention de ne pas voter la mort du Roi. Il essaya de circonvenir le duc d'Orleans, le marquis Lepelletier de Saint Fargeau et enfin Pierre Vergniaud. Ce fut un combat epique contre ces trois regicides qui trahirent le Roi en ne respectant pas leurs paroles. Nous revivrons à cette occasion les heures les plus noires de la Convention et assisterons à l'eviction des Girondins dont le baron de Batz fut responsable.
Aprés 5 ans de travail, j'espère que mes lecteurs seront aussi nombreux que ceux qui lirent mes romans sur Marie-Antoinette et qu'ils en seront satisfaits.

jeudi 8 avril 2010

LE MARTYR DES FEMMES PALESTINIENNES

J'ai vu hier soir une émission d' ENVOYE SPÉCIAL qui m'a tiré une larme. Les conditions de la femme en Palestine sont dramatiques. On a assisté au désespoir d'une jeune femme de 18 ans, très jolie, qui était sans cesse rouée de coups par son mari. Elle avait eu le courage de rompre la loi du silence et d'aller se plaindre à une organisation policière qui soit disant les protègeait, mais la pesanteur de la Tradition les empêche d'être efficace, et c'est toujours la Loi des Mâles qui l'emporte. Certaines de ces malheureuses arrivent pourtant a quitter leur famille pour vivre cloitrée dans une communauté où elles sont en sécurité. On a assisté à une réunion d'arbitrage ou la jolie fille appuyée par sa mère demandait le divorce. On lui imposa de retourner vivre avec son mari. A la fin de l'émission on apprend avec une grande émotion qu'il l' a précipitée du 4ème étage ! Quant au mari assassin, il n'est pas allé en prison, il n'a eu qu'une amende de 3000 euro pour avoir tué sa femme! Selon l'émission, ce genre de crime est fréquent en Palestine. Quand un frère trouve sa soeur vierge avec un homme, il a le droit de la tuer "pour sauver l'honneur de la famille". On a assisté au témoignage de l' un de ces jeune assassin qui avait étranglé sa propre soeur pour le même motif, un crime commis en outre avec l'accord de la famille ! Pas une once de remord chez ce jeune! Il a répondu que cela servirait de leçon à ses autres soeurs! Ce fanatisme me rappelle celui des enfants nazis qui dénonçaient leurs parents aux SS quand ils ne les trouvaient pas assez motivés aux doctrines d'Hitler! Avec ce comportement du "code de l'honneur"on n'en n'est plus très loin! Il parait que Mahmoud Abbas va supprimer ce code de L'horreur qui autorise un frère à tuer sa soeur, mais à ce jour rien n'est fait encore!
Quel avenir pour ces courageuses femmes palestiniennes, si attachantes et si dynamiques qui restent otages d'une telle barbarie ? L'Union Européenne devrait se pencher sur ce cas avant de déverser ses subsides et demander une protection efficace pour ces malheureuses....La démocratie est encore loin !...

mercredi 17 mars 2010

JEAN FERRAT, POUR L'IMPARTIALE POSTERITE

Nous avons perdu un immense artiste, ses chansons se propageront de générations en générations. Tous ses textes resteront des classiques littéraires. L'homme était bon, généreux. Il avait une immense foi en l'homme et en la nature. Et pourtant à une époque de sa vie, il avait pris position pour un parti extrême, en condamnant toutefois l'entrée des chars russes à Budapest. Son engagement le rendait quelquefois un peu outrancier, notamment quand il fit dans une de ses chansons l'apologie de Robespierre, on se demande où etait-il allé chercher l'inspiration ? Robespierre !... l'homme de la Terreur, Stefan Sweig aurait pu l'appeler "la pestilence des pestilences", Robespierre !. l'homme qui a régné 14 mois sur la France en s'appuyant sur les deux piliers de l'infamie: la peine de mort et la délation.
Je me souviens du différend de Ferrat avec Le Luron qui avait failli se terminer en justice. C'était l'époque où les soviets enfermaient les opposants au régime dans les cliniques psychiatriques. Le Luron avait fait une chanson satirique su le thème "que la Montagne est belle" en lui substituant "Que la clinique est belle!....Ferrat l'avait très mal pris.
Dans chaque artiste, il y a l'homme et il y a son art. Devant l'impartiale postérité comme disait Madame Roland, tout s'efface, il ne reste que l' oeuvre. Peu nous importe les prises de positions de Jean Ferrat, il nous a laissé une création immense faite de talents, de beautés et de rêves et grâce à lui, je ne vois plus les montagnes de la même façon!...Paix à ton âme Jean......

samedi 30 janvier 2010

POURQUOI VILLEPIN EST-IL LE SEUL RELAXE ?

Quelle étrange décision que celle du tribunal correctionnel de Paris. On pouvait lire:" Pour le tribunal il est établi que Dominique de Villepin s'est prévalu de propos du président de la République, Jacques Chirac, et que le nom de Nicolas Sarkosy a été évoqué à plusieurs reprises" dans le bureau du ministre des affaires étrangères le 9 janvier 2004. Villepin en outre, a menti sous serment, contrairement à ses affirmations, il est intervenu pour faire libérer Imad Lahoud....Dans quel but?...Comportement bien étrange!...Surement pas pour faire libérer son complice, me direz-vous?...Au grand jamais! Comment pouvez vous suspecter une telle bassesse chez un homme qui a tant de classe!....Par humanité alors?....Sans aucun doute! La compassion est bien connue chez son altesse!.... Rappelez-vous la tendresse qu'il manifesta pour les lycéens en grève !...
Comme un imbécile, je croyais que le mensonge sous serment devant des magistrats était condamnable sévèrement?....Apparemment pas du tout! On peut mentir devant un tribunal après avoir juré de dire la vérité, toute la vérité...., cela ne vous coutera rien! Au contraire vous bénéficierez d'une relaxe! En revanchee sont les petits lampistes qui ont récolté de la taule ferme!...Ah Monsieur de La Fontaine comme vous aviez raison, quand vous disiez: " selon que l'on soit...etc"
Il faut que je prenne immédiatement du Vogalène, car j' éprouve soudain une forte nausée en écrivant ces lignes!...

mardi 12 janvier 2010

LA BURKA EST DANGEREUSE POUR LA SANTE

Je voudrais attirer l'attention des femmes qui portent la Burka ou le voile intégral. Elle ne sont plus du tout exposées au Soleil. Les conséquences peuvent être dangereuses par une carence grave en vitamine D. L'ostéoporose consécutive frappe des jeunes femmes avec toutes les conséquences de fractures et de tassement vertébral que l'on retrouve habituellement à la ménopause.. La peau du visage devient de plus en plus fragile et leurs cheveux sont fins et cassants. Je ne parle pas de la pathologie liée au manque de vitamine D, une vitamine particulièrement recommandée dans la prévention du cancer du sein.
Les femmes qui la portent doivent être prévenues de ce réel danger.
En général les Religions qu'elles soient musulmanes, chrétiennes ou juives ont toujours préconisé une hygiène de vie, le poisson le vendredi pour les chrétiens, le porc, viande très parasitées pour les musulmans et les juifs, l'alcool chez les musulmans. On retrouve toujours des recommandations qui vont dans le bon sens. Or comme la Burka est nocive pour la femme, je doute qu'elle soit recommandée dans le Coran.
Dieu quel que soit son nom veut voir ses fidèles en bonne santé, ne serait-ce que pour louer plus efficacement son nom !